Plus que de simples exposés d’arguments, le ciné-débat et les débats en général ont un aspect éducatif non-négligeable. Ils ne manqueront pas de dévoiler la personnalité des intervenants permettant à chacun de se situer dans le groupe. Si des divergences d’opinion peuvent apparaitre, un débat cadré devrait participer à la cohésion d’un groupe. Le débat auquel nous nous intéressons ici a pour but supplémentaire de dégager la parole de chacun sur un thème donné.
Cette fiche permet, à l’aide d’une œuvre d’art, une peinture par exemple, à chacun d’exprimer ses sentiments, ce qu’il voit, ce qui le marque, ce que ça lui suggère. Après la lecture d'un texte biblique qui pourrait avoir un lien avec la peinture, échanger de la même façon que sur l’œuvre d’art.
« Le psaume est un cri avant d’être un écrit » nous dit Didier Rimaud sj. Un cri est, à sa façon, un moyen de communication. Il exprime souvent une émotion brute : joie, peur, détresse, agressivité, plaisir… C’est le cas des psaumes : l’homme y exprime avant tout ce qu’il vit au plus profond de son être. Il y a certes des psaumes de joie, d’exultation et de victoire mais il y a aussi ceux qui expriment l’angoisse, la tristesse, la solitude, la défaite, la souffrance… nos fragilités.
Lire la Bible n’est pas un but en soit, mais elle nous fait découvrir la Parole, nous permet d’en profiter dans nos choix quotidien. Elle change ainsi notre façon de vivre, de penser et surtout, elle nous donne de mieux aimer les personnes que nous croiserons dans notre vie. Car le but c’est toujours d’aimer.
A partir de chants, hits d’hier et d’aujourd’hui, ouvrir à une réflexion, échanger, écouter la Parole de Dieu, prier ensemble. Selon l’articulation entre chants – échange – Parole de Dieu et prière, cette technique permet l’animation d’une soirée débat, comme elle peut être le fil rouge d’une veillée de prière.
Nous rendons-nous bien compte que pendant l’Eucharistie, le prêtre prend du pain et du vin. Ils sont fruits de la terre et du travail des hommes ! Imaginez un simple repas et même le plus simple possible : du pain ( sec ) et de l’eau. Le pain représente le minimum, l’aliment de base. Si à ce repas, on remplace l’eau par du vin ( comme aux noces de Cana ), alors c’est un repas de fête. Le vin représente, la gratuité, la fête. Cependant, n’allons pas trop vite. Commençons par ce minimum en faisant du pain… en espérant que vous découvriez l’abondance dans l’Eucharistie.
Certains d’entre nous ont fait le déplacement jusqu’à Rome pour vivre « en direct » la canonisation de Jean-Paul II et de Jean XXIII. Ce n’était pas nécessaire ni possible pour tous. Cependant ce que nous a proposé l’Église le 27 avril 2014, c’est un exemple pour chacun d’entre nous. C’est l’occasion pour nous de (re)prendre conscience que nous sommes appelé à être saints et saintes, témoins vivants de la miséricorde de Dieu. Voici une proposition de veillée.
Est-il si facile d’être méchant ? La méchanceté est-elle naturelle ? En tout cas, il nous arrive de commetre des actes méchants. Nous essayerons d’en comprendre les méchanismes. À l’inverse être bon ne se fait pas tout seul non plus. Comment éviter les piège de la méchanceté, comment être bon de manière active ?
Il n’est pas toujours facile d’aborder Noël chrétiennement quand on n’y voit plus qu’une fête commerciale ou un phénomène de société. Comment redécouvrir le sens caché de l’Esprit de Noël. En quoi cet enfant vient interroger nos vies aujourd’hui? Nous vous proposons de vivre et faire vivre une veillée de Noêl en alternant extrait de film et voyage dans le temps.
Voici quelques suggestions pour animer un temps de prière. C’est la manière que l’Église a, depuis des siècles, de prier en dehors de l’eucharistie. Ceci n’est évidemment qu’un canevas. Tout peut changer, mais il me semble que les numéros 1, 4, 7 et 9 doivent toujours être présents. Aussi, bonne prière à tous, dans la joie du Seigneur.
D’après l’Équipe de Louvain La Neuve, complété par sr Anne, ra